Voici les questions que vous nous avez posé lors de nos rencontres. Elles précisent notre vision.
Si vous avez une autre question, n’hésitez pas à nous contacter.
Bertrand Faraut, a-t’il prévu d’adapter ses activités professionnelles, pour lui permettre de représenter la FFCAM ?
Bertrand Faraut, en qualité de fonctionnaire et d’élu national à fois, a droit déjà dans un premier temps à des journées dédiées à cette fonction et si cela ne suffit pas pas, un temps partiel compensé peut être envisagé. Il aura ainsi toutes les latitudes pour se consacrer à la représentation de la fédération, là il le faudra. Cette représentation pourra être aussi assurée par les membres du CD fédéral et/ou les responsables de pôles, via leurs réseaux.
Ensuite l’organisation qui sera mise en place se veut efficace et pensée pour déléguer à tous niveaux justement pour permettre à des actifs de contribuer en s’appuyant sur les forces vives élues ou pas au niveau national, régional (comités territoriaux) ou local (clubs).
Ainsi notre méthode de travail au sein de la FFCAM sera efficace, renouvelée, participative, évolutive et surtout démocratique, alors que pour l’autre liste, il semble que tout soit déjà écrit, acté, défini.
Nos décisions seront prises en nous appuyant sur un vrai travail collectif au sein de la fédération.
A noter, les actuels coprésidents sont tous actifs et le sujet n’a jamais été évoqué les concernant.
Enfin à la lumière de l’équipe sortante ce n’est pas parce que l’on est retraité que l’on est efficace. Certains retraités ont fait peu depuis deux olympiades et les retrouvent pour partie sur la liste concurrente.
Ce qui n’est pas le cas notre liste “Toutes et tous nous sommes la FFCAM” . Chacun de ses membres est conscient des tâches à venir et est motivé pour les accomplir.
Quel que soit notre statut professionnel, nous serons tous actifs et dynamiques.
Quel fonctionnement du pôle refuge et quel rôle des Commissions territoriales à l’hébergement (CTH) dans ce pôle ? Comment sont financés les rénovations ?
Notre principe de travail est de réunir toutes les bonnes volontés et toutes les compétences présentes parmi nos bénévoles, quels qu’ils soient, au sein du pôle hébergement afin d’y travailler sur des sujets identifiés et d’en apporter ensuite une synthèse argumentée vers les instances décisionnelles. Notre principe de travail est de sortir des relations unipersonnelles favorisant les disparités subjectives. Pour cela, les décisions doivent être prises au sein d’instances responsables et représentatives des différents territoires. Des arbitrages seront nécessaires et nous voulons que les besoins réels et les projets réfléchis et argumentés soient valorisés. Le principe de financement sur la base d’euros/nuitées n’est pas satisfaisant car il est arbitraire.
Les CTH sont une extension de la gouvernance fédérale (organe déconcentré) et non des entités indépendantes (organe décentralisé). Permettre aux responsables des CTH de venir expliquer, motiver, défendre avec passion leurs besoins, leurs projets, les actions fortes de leurs bénévoles ainsi que leurs bilans auprès de la commission fédérale des refuges et chalets, est une formidable opportunité de mettre en valeur leurs hébergements, leur territoire et l’investissement de leurs bénévoles.
Pour ce qui est du plan de rénovation, nous devrons en tant que fédération assumer les engagements pris par nos prédécesseurs. Néanmoins, nous nous interrogeons sur le retard pris dans les projets en cours et mobiliserons les moyens fédéraux pour combler ces retards. Les modèles économiques propres à chaque hébergement seront questionnés. Nous allons mettre en place des sources de recettes conséquentes qui ne reposent pas sur le prix de notre licence, et pourront ainsi accélérer un plan de rénovation plus ambitieux et collégial car non bâti sur un saupoudrage dont l’objectif est connu.
En parallèle, une réflexion sur le devenir de nos hébergements, bien plus globale que celle des simples rénovations, sera menée au sein du pôle hébergement avec le concours de tous les acteurs du milieu montagnard.
Comment comptez-vous défendre nos associations contre la menace qui pourrait peser sur nous suite à une accidentologie importante sur l’encadrement d’activité à risque par des bénévoles non professionnels ?
Les formations du pratiquant sont un élément de réassurance du ministère des sports. Plus de gens sont formés et enregistrés dans notre base, plus la fédération démontre son engagement et plus nous réduisons l’accidentologie.
Concernant les diplômes d’ encadrement, nous sommes la seule fédération à imposer la présence d’un brevet d’état pour les initiateurs moniteurs et instructeurs.
Notre équipe défend systématiquement l’encadrement bénévole en milieu spécifique car c’ est la raison d’être du milieu associatif. Il n’est pas antinomique avec l’ encadrement professionnel, les deux doivent s’enrichir mutuellement, sur les territoires ou dans les clubs sans encadrants bénévoles. Le recours à des professionnels ne doit pas être un tabou.
Une activité marginale pour nous, qui à sa fédération bien structurée: le parapente, pourquoi y revenir ? Et le trail, vous l’avez oublié ?
Et le trail, vous l’avez oublié ?
Comment voyez vous l’évolution des subventions aux écoles jeunes? Le rôle du DTT Jeunes? Faire évoluer la déclaration des écoles? les labels?
Il faut changer la déclaration des écoles afin de la simplifier et de ne pas multiplier les démarches administratives pour des sommes allouées trop faible au regard de l’immense énergie que cela nécessite. Simplifier la vie des bénévoles, c’est permettre à ceux-ci de s’investir sur la jeunesse.
Il faut avoir un DTT jeune qui ait les moyens de ses ambitions, des relais dans les territoires et clubs et du temps pour faire remonter les bonnes pratiques et les mutualiser.
Fournir aux clubs qui le souhaitent un kit de démarrage pour leur proposer un modèle économique fonction du point de départ (existence d’ encadrement bénévole, possible au sein du club ou pas, présence d’ un minibus au club ou pas. Etc …) et aussi prendre en compte le côté social pour permettre à tout type de public de participer.
Quel sera la place des territoires et des CFA dans le changement de gouvernance ?
Les CFA doivent continuer à jouer leur rôle sur la réforme des cursus. Bien plus que d’ être des chambres d’enregistrement des décisions prises par ailleurs.
Elles seront systématiquement associées et leur voix sera écoutée. Les instructeurs sont nos ressources fédérales. C’est grâce à leur engagement et leur présence que le système de formation fédéral tient.
Quel est votre avis sur les financements de la fédération?
La question n’est pas tant liée au risque financier, mais à la bonne gestion des deniers fédéraux. Une fédération qui représente environ 15 M€ de recettes et de dépense, sans compter dans ce montant le reste de l’activité réalisée par les clubs qui doit représenter au moins 6 M€ supplémentaires, nous oblige à avoir une gestion financière précise de la fédération, pour éviter des situations financières difficiles.
L’augmentation du budget de la fédération se fera par des financements externes, qui ne coûteront pas un 1€ aux licenciés FFCAM. La croissance externe par l’adhésion de nouveaux membres sera, bien sûr, privilégiée, mais d’autres modes de financements innovants seront également recherchés.
Les activités de nos clubs et nos comités territoriaux reposent essentiellement sur le bénévolat, comment comptez-vous encourager leur implication ?
Pour la partie hébergements, qui repose énormément sur l’implication de nos bénévoles, il est évident que les responsabilités (nos hébergements sont des Établissements Recevant du Public, soumis à une réglementation stricte), le large périmètre d’actions et les pressions des équipes de gardiens qui sont souvent dans l’immédiateté de leur business, sont des facteurs d’usure et d’éparpillement de l’énergie de nos bénévoles. Nous souhaitons leur faciliter la vie et descendre leur charge mentale. A cet effet, nous leur proposerons une formation fédérale adaptée à leurs responsabilités et nous mettrons à leur disposition des outils efficaces (centrale d’achat, contrats cadres territoriaux pour interventions de maintenance, travaux spécifiques, contrôles techniques, etc.) afin de les rendre plus efficaces.
Des plans de communication de leurs actions seront également mis en oeuvre.
Pour le reste des actions bénévoles, nous envisageons au-delà de la carte fédérale permettant la gratuité dans les refuges, d’autres moyens de valoriser les bénévoles, comme des remises avec des partenaires et sponsoring.
Comment allez-vous finaliser la réforme des cursus de formation ? Qui sera chargé du pôle formation ?
Nous allons accompagner la compréhension de la formation du pratiquant dans les clubs avec les deux niveaux initié et perfectionné. Cela permet de connaître de manière transverse les compétences des gens même s’ ils changent de club. C’est un plus et un gain de temps pour les encadrants et les formateurs qui peuvent reprendre la formation ou elle en était plutôt que de recommencer la formation depuis le début. Par ailleurs, cette formation du pratiquant permet de donner une garantie importante au ministère des sports des actions de formations menées au sein de notre fédération.
Pour le niveau initiateur. Il faut que les clubs comprennent que l’ initiateur stagiaire est déjà 1 encadrant au sein du club, il peut animer la vie du club, raison pour laquelle nous voulons qu’il puisse bénéficier de la carte fédérale. Dans nos cursus fédéraux, ce n’est pas le diplôme obtenu qui permet l’encadrement, mais bien l’autorisation d’encadrement signée du président qui est prépondérante. Rappelons que la loi n’interdit à personne d’encadrer bénévolement une activité. Le diplôme fédéral est donc une obligation de moyen que nous nous donnons.
Pour les niveaux supérieurs de moniteurs et instructeurs, nous souhaitons revoir avec les CFA si les certifications sur dossier sont nécessaires. Il faut que nous soyons raisonnables sur le nombre de journées de formation totales afin de ne pas décourager les candidats. Sans eux, il n’y a pas de renouvellement des cadres (très vieillissants dans certaines activités) ni de transmission des savoirs. D’autres fédérations font de la formation aussi, nous devons faire attention à ne pas faire fuir les bonnes volontés.
Si nous sommes élus, la fin de la réforme sera menée par Yannick Tonner du CAF d’Orthez . Il sera nommé Vice-président aux activités et à la formation. Pyrénéen, mais surtout compétent, il travaillera en lien avec les CFA et la DTN.
Concernant la tarification unique, nous ne parlons que des coûts pédagogiques, c’est-à-dire le coût du guide et de l’instructeur.
Évidemment les prix diffèrent selon l’hébergement, les remontées mécaniques, mais le coût pédagogique dans des soucis d’égalité de traitement d’un licencié de Bretagne, des Alpes ou de Pyrénées devrait être le même. La fédération doit s’en porter garante, mais cela n’empêche aucunement aux divers territoires d’avoir leur propre politique de subventionnement de la formation ou d’encouragement des licenciés à se former selon leurs objectifs et territoires.
Concernant la délégation : nous allons être évaluée en 2026 sur l’avancement de notre fédé dans la mise en place de l’activité « escalade sur glace ». Et cela sans préjuger de l’introduction de cette activité aux JO. Si l’évaluation est défavorable nous perdrons la délégation. Quelle est la teneur de votre projet sur ce sujet ?
Qui va occuper les postes clés ?
Oui : nous sommes jeunes, dynamiques et compétents. Oui nous avons des idées, et souhaitons les mettre au bénéfice de la fédération. Nous ne lisons pas dans l’avenir, mais notre force est de savoir travailler en équipe et de savoir déléguer sur une équipe salariée les choses à faire. Avoir du temps s’il l’on ne sait rien faire, ne sert à rien. Impulser, diriger, superviser, donner du sens, utiliser les énergies et ne pas les contraindre. Voilà ce que nous voulons faire.
Quid du nouvel outil ALPI qui vient d’être développé ? Que faites-vous des autres projets informatiques en cours ?
ALPI existe et c’est très bien. Il a été largement inspiré d’outils existants, dont ceux que nous avons mis en place depuis plusieurs années (Ex : Site des collectives). Plusieurs solutions coexisteront et elles serviront à plusieurs typologies de clubs ou d’usage.
Nous mettrons en valeur toutes les initiatives numériques des clubs et nous inviterons les licenciés de la fédération à participer à l’améliorations des outils de la fédération (Open Source).
Cependant, l’ investissement sur le numérique ne peut pas se résumer à l’outil de gestion des sorties. La rénovation de l’extranet pour faciliter son utilisation par les clubs et les licenciés est un chantier à traiter en priorité, et la fédération est la seule à pouvoir mener. Nous aborderons aussi les outils permettant la gestion des formations et des hébergements.
Comment gérer vos pôles ? Comment l’ensemble des adhérents pourront y participer ? Et comment faire si, par exemple, 800 adhérents se présentent ?
Les pôles auront une existence dématérialisée afin que chacun puisse se connecter à distance. Si 800 adhérents viennent travailler sur les sujets, nous serions ravis et si cela arrive tant mieux, il n’est pas impossible que 800 personnes s’intéressent à un sujet sans forcément avoir des idées pour régler le problème.
La modération sera faite par le responsable du projet au sein du pôle et du responsable du pôle, ce seront eux qui déterminent le nombre de personnes pertinentes pour faire avancer le sujet au mieux des intérêt de tous.
Un sujet nécessitera peut-être 10 personnes, un autre 30, cela sera en fonction du sujet traité.
Les CD et CR seront libres d’envoyer des membres du comité travailler dans les pôles. Peut être que les sujets pourront être répartis entre CR ou CD afin que l’on aille plus vite et que l’on puisse faire avancer plusieurs sujets en même temps. Cela devra être discuté avec les volontaires.
Les commissions resteront présentes et pourront travailler au sein des pôles.
Le mode de participation est en cours d’élaboration, mais une page sur le site fédéral sera mise en oeuvre et un LOGIN avec nom prénom et N° de licence suffira pour s’inscrire. La plupart des échanges seront en Visio ou sous forme de messageries collaboratives, Slacks, Whatsapp, etc.
Et les salariés ?
Quels liens avec les autres fédérations FFC, FFME, FFS et autres ?
Quelles actions pour soutenir les dirigeants, notamment dans les petits clubs?
Former les dirigeants avec l’aide des CDOS (Comités départementaux Olympiques et Sportifs). Leur mettre à disposition des outils comptables, de gestion, des manières de procéder qui les aident à structurer leur activité.
L’ensemble des outils doit leur permettre de gagner du temps pour l’activité terrain.
Quelles seront les priorités si l’Olympiade était réduite à 2 ans ?
Notre attachement aux statuts de notre fédération, fait que notre engagement est pour l’instant basé sur l’olympiade à venir, soit un mandat de 4 ans. La délégation de la pratique “escalade sur glace” aux prochains JO n’est pas actée. Nous soutenons et encourageons dès à présent toutes les initiatives qui montreront au monde de l’olympisme, que notre fédération est l’acteur clé dans la réussite de la structuration et de la promotion de ce sport en plein essor.
Et lorsqu’une modification de nos statuts sera nécessaire afin que le mandat de notre Comité Directeur soit aligné sur l’olympiade d’hiver, cela passera obligatoirement par la convocation d’une assemblée générale extraordinaire … comme stipulé dans nos statuts !
Nicolas Reynaud avait ses entrées, et vous ?
Nicolas Reynaud ne se représente pas. Quand nous serons élus, une des premières choses que nous ferons, ce sera de rétablir les canaux qui vont bien.
Bertrand FARAUT est déjà en contact avec des élus de terrain, président du Conseil Départemental de la Haute-Savoie ou il est par ailleurs élu au conseil d’administration du comité du tourisme 74, il entretient de très bonnes relations avec Martial SADDIER membre du bureau des Républicains”. Il connaît aussi, Eric FOURNIER, maire de Chamonix et Vice-président du conseil régional AURA. Il entretient également des liens avec Xavier ROSEREN, député LREM de la Haute-Savoie et dispose d’un réseau de connaissance important au sein de l’Association des Maires de France. Tout membre de l’équipe fédérale nationale pourra et devra développer localement des réseaux d’appui pour permettre une meilleure audience de notre fédération auprès du politique.
De quelle manière pensez-vous pouvoir former davantage d’instructeurs et instructrices ?
Quelle est votre politique concernant l’évolution des tarifs des licences ?
Pensez-vous que la FFCAM doive s’impliquer dans l’entretien de certains sites naturels d’escalade SNE ?
Quel engagement au côté des clubs envisager pour limiter l’aménagement des montagnes (protection des milieux naturels) ?
Quelle position sur le T3 de la Grave ? Ou autre projet de ce type ?
Tout le monde se souvient de la destruction de la Bérarde ou nous avons plusieurs refuges : que répondre aux politiques pour l’avenir de ces refuges ?
Quelle stratégie environnementale à long terme (activités, sensibilisation, infrastructures) ?
Nous agirons à chaque niveau de la fédération pour faire baisser son impact environnemental et pas seulement sur la baisse des émissions de c02 mais aussi sur l’eau et la biodiversité. Là aussi, pas besoin de faire une liste à la Prévert, les causes et conséquences sont bien souvent connues.
Un adhérent sensibilisé est mieux à même de préserver. Nous n’avons pas à attendre que la formation Brevet milieu montagnard donne des résultats. Il faut être rapide et agile. La connaissance existe. Il faut aller la chercher et nouer des partenariats brevet fédéral, par ex. Fresque de la montagne, FNE, Aster, CEN, Mountain Wilderness, Mountain change makers Créa Mont Blanc, …
“Réfléchir à des modes d’approvisionnement des hébergements qui soient vertueux, innovants et décarbonés”. Cela se fera avec les gardiens, les clubs gestionnaires, les représentants locaux des réseaux de distributions. Selon chaque implantation, un travail sera fait pour trouver la meilleure solution en utilisant les ressources industrielles locales.
Sans oublier de réduire le coût des rénovations et l’impact environnemental de nos hébergements par la mise en place de référentiels de construction durable.
Quelle place pour la fédération dans le débat sociétal de l’environnement ?
Être engagé : le milieu de la montagne est notre ecosystème vital, nous devons le preserver pour continuer à promouvoir nos pratiques. C’est sans doute la mesure la plus emblématique. Notre écosystème est vital, nous devons le préserver pour continuer a ̀ promouvoir nos pratiques et aller en montagne. Cela passe par le quotidien et la proximité. Les instances locales administratives et participatives, proches des clubs sont des lieux d’expression, de conciliation. Les clubs doivent y être représentés. C’est un moyen extrêmement puissant pour créer des réseaux qui tout naturellement se tourneront vers la montagne. Ainsi, les clubs pourront se faire entendre.
Clubs et CT : Être présent dans les instances locales, ex Cdesi mais que, travailler avec les associations de
préservation de l’environnement, être forces de proposition en ayant toujours en tête la conciliation, constitution d’un réseau
Fédéral : Expliquer l’implication locale, le rôle des commissions et renforcer les partenariats avec la LPO comme l’a fait la FFME début janvier 2025, le CEN, FNE, Mountain wilderness (groupes de travail Changer d’approche, Grande concertation Montagnes pour protéger et faire vivre les montagnes en 2030), Fresque de la montagne… Être représenté dans les différents comités ou commissions institutionnels (comité de massif, parcs, …) ; faire un travail en amont en lien avec les pôles, les acteurs du territoire FFCAM ou non, communiquer largement sur les travaux menés et les résultats.
Idem à l’international
Quel positionnement contre les projets dégradant le milieu montagnard ? Rester neutre ou s’engager ?
Être engagé, nous le serons, à tout niveau de la fédération. De l’adhérent au président ! En accord avec les valeurs des clubs alpins, en faisant le choix du long terme quitte à perdre sur le court terme :
Quels moyens humains (embauche) et financiers ?
Nos mesures Environnement et milieu montagnard ne pourront être mises en oeuvre sans moyens humains et financiers, nous le savons et il faudra les financer, nous le savons aussi. Quelques exemples :